Cet article est destiné à celles et ceux qui recherchent une verrière, fenêtre d’atelier de qualité. Il existe de nombreuses façons de bricoler un châssis qui ressemble à une verrière. Voici 5 astuces pour reconnaître ainsi que choisir une véritable verrière intérieure de qualité :
N°1 / La matière : de l’acier ou rien
Une véritable verrière intérieure est en acier, et non en alu ou en bois. Méfiez-vous des imitations bas de gamme. L’aluminium est une matière beaucoup plus légère et plus tendre que l’acier. La verrière est donc nettement moins résistante et sensible au moindre choc. De surcroît, l’esthétique d’une structure en bois est très éloignée du style original de la verrière. Il est indéniable que l’acier est le matériau de prédilection de la verrière intérieure. Grâce à des méthodes de fabrication traditionnelles et à la finesse des profilés, le résultat est impeccable et extrêmement résistant.
N°2 / L’assemblage : cadre soudé
Le châssis d’une véritable verrière intérieure est débité en atelier, assemblé avec des coupes à 45° puis entièrement soudé. Attention aux verrières vendues en kit ou assemblées sur place (ce qui est souvent le cas des verrières en alu) car la robustesse et l’esthétique ne seront pas au rendez-vous.
N°3 / La fixation : invisible
À ce propos, le principe de fixation d’une véritable verrière repose sur les parecloses. Ces dernières doivent donc être clippées. En effet, si vous apercevez des vis apparentes, fuyez ! Quelle disgrâce…
N°4 / Le verre : feuilleté ou trempé
Pour un verre de qualité, optez donc pour un feuilleté 33,2 minimum ou un verre trempé de 4 mm. Évitez le verre simple, trop fragile ou le plexiglas car il se raye facilement.
N°5 / La finition : le thermolaquage
Il s’agit d’une peinture en poudre non polluante projetée au pistolet puis passée dans un four à haute température. Cette finition est à juste titre, la plus qualitative. Une peinture liquide risque de présenter des coulures et sera par ailleurs beaucoup plus fragile.
